Traductions de chansons

 

Voici les chansons que j'ai traduites pour l'instant : cliquez sur l'auteur, puis sélectionnez le titre de la chanson pour voir les paroles originales et la traduction. N'hésitez pas à laisser un commentaire aux chansons qui vous intéressent le plus !

Pour me demander d'autres traductions de chansons italiennes (de n'importe quel artiste) rendez-vous dans le FORUM, lisez attentivement les instructions qui apparaissent, puis cliquez sur Traductions de chansons à publier et ensuite sur Nouveau sujet . Votre message sera très probablement effacé s'il ne respecte pas le message d'instructions ! Sinon, la traduction sera faite et mise en ligne dès que possible, le service est entièrement gratuit et réalisé par des bénévoles. Les délais de traduction sont très variables (mais généralement très rapides), veuillez rester patients si cela tarde un peu.

N'hésitez pas non plus à me signaler toute faute de traduction, voire des fautes dans le texte original ! Bonne lecture, j'espère bonne écoute, et à bientôt sur le forum !


Document sans titre Il y a 649 chansons

chanteurs :
Document sans titre

Les chansons de Roberto Vecchioni sont :

Parigi (o cara) - Samarcanda -
Document sans titre

COMMENTAIRES

Samarcanda
Di Roberto Vecchioni
 
Chanson N° 101, traduite par Dorothée le 2006-05-14 modifiée le 0000-00-00

 

Traduction : Samarcanda

 

Italiano :

C'era una gran festa nella capitale
perché la guerra era finita.
I soldati erano tornati tutti a casa ed avevano gettato le divise.
Per la strada si ballava e si beveva vino‚
i musicanti suonavano senza interruzione.
Era primavera e le donne potevano‚ dopo tanti anni‚
riabbracciare i loro uomini. All'alba furono spenti i falò
e fu proprio allora che tra la folla‚
per un momento‚ a un soldato parve di vedere
una donna vestita di nero
che lo guardava con occhi cattivi.
ridere‚ ridere‚ ridere ancora‚
Ora la guerra paura non fa‚
brucian le divise dentro il fuoco di sera‚
brucia nella gola vino a sazietà‚
musica di tamburelli fino all'aurora‚
il soldato che tutta la notte ballò
vide tra la folla quella nera signora‚
vide che cercava lui e si spaventò.
"Salvami‚ salvami‚ grande sovrano‚
fammi fuggire‚ fuggire di qua‚
alla parata mi stava vicino‚
e mi guardava con malignità"
"Dategli‚ dategli un animale‚
figlio del lampo‚ degno di un re‚
presto‚ più presto perché possa scappare‚
dategli la bestia più veloce che c'è
"corri cavallo‚ corri ti prego
fino a Samarcanda io ti guiderò‚
non ti fermare‚ vola ti prego
corri come il vento che mi salverò
oh oh cavallo‚ oh‚ oh cavallo‚ oh oh cavallo‚ oh oh‚
Fiumi poi campi‚ poi l'alba era viola‚
bianche le torri che infine toccò‚
ma vide tra la folla quella nera signora
e stanco di fuggire la sua testa chinò:
"Eri fra la gente nella capitale‚
so che mi guardavi con malignità‚
son scappato in mezzo ai grilli e alle cicale‚
son scappato via ma ti ritrovo qua!"
"Sbagli‚ t'inganni‚ ti sbagli soldato
io non ti guardavo con malignità‚
era solamente uno sguardo stupito‚
cosa ci facevi l'altro ieri là?
T'aspettavo qui per oggi a Samarcanda
eri lontanissimo due giorni fa‚
ho temuto che per ascoltar la banda
non facessi in tempo ad arrivare qua.
Non è poi così lontana Samarcanda‚
corri cavallo‚ corri di là...
ho cantato insieme a te tutta la notte
corri come il vento che ci arriverà
oh oh cavallo‚ oh‚ oh cavallo‚ oh oh cavallo‚ oh oh
Francese :

Il y avait une grande fête dans la capitale
parce que la guerre était finie.
Les soldats étaient tous rentrés chez eux et
ils avaient jeté leurs uniformes.
Dans la rue, on dansait et on buvait du vin,
les musiciens jouaient sans interruption.
C'était le printemps et les femmes pouvaient, après de si longues années,
reprendre leurs hommes dans les bras. A l'aube, on éteignit les feux de camp
et ce fut exactement à ce moment-là qu'au milieu de la foule,
l'espace d'un instant, un soldat eut l'impression de voir
une femme vêtue de noir
qui le regardait avec des yeux méchants.
rire, rire, rire encore,
Maintenant la guerre ne fait pas peur,
les uniformes brûlent dans le feu du soir
le vin brûle et rassasie les gorges,
musique de tambourins jusqu'à l'aurore,
le soldat qui dansa toute la nuit
vit au milieu de la foule cette femme noire,
il vit que c'était lui qu'elle cherchait et il prit peur.
"Sauve-moi, sauve-moi, grand souverain,
fais-moi m'enfuir, m'enfuir d'ici,
au défilé elle était près de moi,
et me regardait méchamment
- Donnez-lui, donnez-lui un animal,
fils de l'éclair, digne d'un roi,
vite, plus vite pourqu'il puisse s'enfuir,
donnez-lui la bête la plus rapide
- dépêche-toi, cheval, dépêche-toi je t'en prie
jusqu'à Samarcanda, je te mènerai
ne t'arrête pas, vole je t'en prie
va aussi vite que le vent et je serai sauf
oh oh cheval‚ oh‚ oh cheval‚ oh oh cheval‚ oh oh‚"
Des fleuves puis des champs, puis l'aube était violette,
et blanches furent les tours qu'il toucha enfin,
ma il vit au milieu de la foule cette femme noire
et, lasse de fuir, il baissa la tête :
"Tu étais parmi les gens de la capitale,
je sais que tu me regardais méchamment,
je me suis enfui au milieu des grillons et des cigales,
je me suis enfui mais je te retrouve ici !
- Tu te trompes, tu fais erreur, tu te trompes, soldat
moi, je ne te regardais pas méchamment,
c'était juste un regard étonné,
que faisais-tu là-bas avant-hier ?
Je t'attendais ici pour aujourd'hui à Samarcanda
tu étais très loin il y a deux jours,
j'ai craint que pour suivre le groupe
tu n'arrives pas ici à temps.
Ce n'est pas si loin que ça, Samarcanda‚
dépêche-toi, cheval‚ vite par là...
j'ai chanté avec toi toute la nuit
va aussi vite que le vent et il y arrivera
oh oh cheval‚ oh‚ oh cheval‚ oh oh cheval‚ oh oh"

 

Document sans titre Les autres chansons de Roberto Vecchioni sont : Parigi (o cara) -Samarcanda -

 

- Retour au site BellaItalia, LE site des fans d'Italie ! -